Les militants du SGLCE se sont invités sur le centre de Géodis de Bonneuil. Ils entendent ainsi protester contre le plan de démantèlement de Presstalis, la suppression de 1 200 emplois et la généralisation de la sous-traitance des activités de traitement des publications dans des centres tels que celui-ci, avec du personnel sans statut. (…)
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_ Les pouvoirs publics, et le gouvernement en particulier, ne peuvent rester muets devant cette situation.
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_ Le SGLCE sera de toutes les actions pour faire bouger ceux qui s’obstinent à mettre en œuvre une logique libérale, génératrice de chômage, de précarité et de casse sociale.
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_ À cet effet, les délégués du SGLCE sont convoqués lundi 22 octobre à 14 h 30 pour débattre du sujet et prendre les initiatives pour la situation impose.
L’accord tripartite État-éditeurs-Presstalis signé le matin, c’est sans grande surprise que vendredi 5 octobre dans l’après-midi, nous avons appris que le tribunal de commerce n’avait pas prononcé la mise en redressement judiciaire du groupe Presstalis.
_ Si cette décision est saluée par la direction du groupe comme « une étape essentielle pour l’avenir de Presstalis », pour les salariés rien n’est réglé et leur avenir est loin d’être garanti puisque le projet reste le même :
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– un plan industriel basé sur l’externalisation de la majorité des activités,
– la suppression de 1 200 emplois avec un recours massif à des départs contraints.
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_ pour télécharger le communiqué, merci de cliquer ci-dessous
