Mouvements sociaux dans les transports ferroviaires

La désinformation gouvernementale et médiatique bat son plein. La mobilisation est loin de faiblir, voire va s’amplifier les prochains jours à l’approche de l’examen du projet de loi à l’assemblée nationale.
Les arguments les plus fallacieux allant de la paralysie du Bac (les cheminots n’ont pas choisi la date ni du bac ni du passage à l’assemblée !), la pseudo signature d’un pseudo accord entre CFDT UNSA et Ministère, aux lieux communs (temps de travail, salaires et primes diverses des cheminots) alimentant les fantasmes des réactionnaires et libéraux depuis plusieurs décennies.
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_ Les cheminots sont très majoritairement opposés à cette réforme et le prouvent dans la grève. Au-delà de la lutte contre cette réforme, ils se mobilisent sur la question des moyens humains et financiers pour que tous les citoyens puissent accéder à un service public de transport de haut niveau. Seule une entreprise public et un monopole public est le rempart contre la logique du « tout profit »
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_ Ce mouvement n’est pas déconnecté des autres luttes qui ont lieu dans les autres entreprises du public et du privé. Elle porte les mêmes revendications de développement des services publics de qualité, de salaires, d’emplois, de conditions de travail et de refus des politiques d’austérité et du diktat libéral alors que jamais autant de richesses ont été créées dans le pays.

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